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GONÇALVES Stéphanie
Post-doctorante, Chargée de recherches au FNRS
Stéphanie Gonçalves | Université libre de Bruxelles - Academia.edu
BIO
Stéphanie Gonçalves (FR) est historienne, chargée de recherches postdoctorales au Fonds National de la Recherche Scientifique à l’Université libre de Bruxelles. Elle a soutenu en 2015 une thèse portant sur la diplomatie culturelle du ballet pendant la Guerre froide (Danser pendant la guerre froide, 1945-1968, Presses Universitaires de Rennes, 2018). Elle est spécialiste du lien entre danse et politique au XXème siècle et s’intéresse en particulier aux circulations transnationales des danseurs, notamment les danseurs soviétiques. Son projet de recherches actuel s’intitule « Repenser le phénomène Béjart, perspectives socio-culturelles sur un chorégraphe multifacette ».
Prix Suzanne Tassier décerné à Stéphanie Gonçalves
Stéphanie Gonçalves a obtenu en 2017 le Prix Suzanne Tassier de l'Académie Royale de Belgique (classe des Lettres et des Sciences morales et politiques) pour sa thèse intitulée "Une guerre des étoiles, les tournées de ballet dans la diplomatie culturelle de la guerre froide (1945-1968)", soutenue en mars 2015 à l'ULB sous la direction d'Irene Di Jorio.
Créé en 1956, le prix Suzanne Tassier est "destiné à un travail scientifique important, écrit en français, sur un sujet d'histoire ou de philologie, de droit ou de sciences sociales. Il est réservé à une femme belge ou ressortissante d'un pays de l'UE ayant effectué ses études dans une université belge et y ayant obtenu au moins un grade de docteur".
Stéphanie Gonçalves (FR) est historienne, chargée de recherches postdoctorales au Fonds National de la Recherche Scientifique à l’Université libre de Bruxelles. Elle a soutenu en 2015 une thèse portant sur la diplomatie culturelle du ballet pendant la Guerre froide (Danser pendant la guerre froide, 1945-1968, Presses Universitaires de Rennes, 2018). Elle est spécialiste du lien entre danse et politique au XXème siècle et s’intéresse en particulier aux circulations transnationales des danseurs, notamment les danseurs soviétiques. Son projet de recherches actuel s’intitule « Repenser le phénomène Béjart, perspectives socio-culturelles sur un chorégraphe multifacette ».
Prix Suzanne Tassier décerné à Stéphanie Gonçalves
Stéphanie Gonçalves a obtenu en 2017 le Prix Suzanne Tassier de l'Académie Royale de Belgique (classe des Lettres et des Sciences morales et politiques) pour sa thèse intitulée "Une guerre des étoiles, les tournées de ballet dans la diplomatie culturelle de la guerre froide (1945-1968)", soutenue en mars 2015 à l'ULB sous la direction d'Irene Di Jorio.
Créé en 1956, le prix Suzanne Tassier est "destiné à un travail scientifique important, écrit en français, sur un sujet d'histoire ou de philologie, de droit ou de sciences sociales. Il est réservé à une femme belge ou ressortissante d'un pays de l'UE ayant effectué ses études dans une université belge et y ayant obtenu au moins un grade de docteur".
Domaines d'intérêt
- Guerre froide
- Danse / Ballet
- Circulations des danseuses, danseurs et chorégraphes
- Transferts culturels dans la danse
- Histoire des imprésarios en danse
- Danse et Relations internationales
- Diplomatie culturelle
Présentation des enseignements
- ARTC-B460 Histoire et Esthétique de la Danse
Travaux sélectionnés
- S. Gonçalves, « Danser pendant la guerre froide 1945-1968 », Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2018 (préface de Pascal Ory).
- S. Gonçalves, « Dien Bien Phu, Soviet Ballet and the Cold War: The First Paris Tour, May 1954 », Dance Chronicle, vol. 42, n°1, 2019, pp. 53-77.
- S. Gonçalves, « Une tournée du ballet de l’Opéra de paris en Amérique du nord en 1948 vue par la danseuse Claude Bessy : diplomatie dansante en guerre froide », Parlement[s], Revue d’Histoire Politique(Culture, Médias, Pouvoirs aux Etats-Unis et en Europe occidentale, 1945-1991, spécial concours, commentaires de textes) n°29, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2019, pp. 39-48.
- S. Gonçalves, « Ballet, propaganda, and politics in the Cold War: the Bolshoi Ballet in London and the Sadler’s Wells Ballet in Moscow, October–November 1956 », Cold War History, 2018, DOI: 10.1080/14682745.2018.1468436
- S. Gonçalves, « Voir danser des Soviétiques en France : la réception du Bolchoï et du Kirov à Paris dans les long sixties », dans Isabelle Launay,Sylviane Pagès, Mélanie Papin et Guillaume Sintès (dir.), Danser en Mai 68, éditions Deuxième Epoque, 2018, pp. 266-284.
- S. Gonçalves, « Collant », dans Lauro Amandine, Piette Valérie, Sägesser Caroline, Vanderpelen-Diagre Cécile, Mai 68 raconté par les objets, Mons, Couleur livres, 2018, pp. 68-71.
- S. Gonçalves, Recension, « Frédéric Ramel, Cécile Prévost-Thomas (eds.), International Relations, Music and Diplomacy : Sounds and Voices on the International Stage, Palgrave Macmillan », 2018, Transposition, n° 7, https://journals.openedition.org/transposition/2257.
- S. Gonçalves, « Ballet, politique et diplomatie culturelle : l’Opéra de Paris aux Etats-Unis en 1948 », Relations Internationales, 2017/2, n°170, pp. 35-46, p. 35-46. DOI : 10.3917/ri.170.0035. URL :
https://www-cairn-info.ezproxy.ulb.ac.be/revue-relations- internationales-2017-2-page-35.htm - S. Gonçalves, « Regarder le grand frère danser ou regarder ailleurs ? Le ballet en Roumanie, 1945-1989 », Studia Politica, Romanian Political Science Review, vol. XVII, n°1, 2017, pp. 159-168.
- S. Gonçalves, Recension, « Christopher B. Balme / Berenika Szymansli-Düll (eds), Theatre, Globalization and the Cold War, Cham, Palgrave Macmillan 2017 », in: H-Soz-Kult, 05.06.2018, <www.hsozkult.de/publicationreview/id/rezbuecher-28537>.
- S. Gonçalves, Recension, « Danser à Mudra : histoires, parcours et témoignages sur l’école-laboratoire de Maurice Béjart », Recherches en danse [En ligne], Actualités de la recherche, mis en ligne le 24 mai 2017, consulté le 12 octobre 2017. URL :
http://danse.revues.org/1627 - S. Gonçalves, « Les danseurs soviétiques à Paris et à Londres pendant la guerre froide : entre travail, tourisme et propagande politique, 1954-1968 », dossier L’URSS à l’étranger, Les enjeux socio-politiques et les effets des voyages des délégations soviétiques, Les Cahiers Irice, 2016, pp. 69-82.
- Stéphanie Gonçalves, Recension, « Ilyana Karthas, When ballet became French, Modern ballet and the Cultural Politics of France, 1909-1939, Montréal, McGill-Queen’s University Press, 2015 », Histoire Sociale/Social History, vol. XLIX, n° 98, mai 2016.
- S. Gonçalves, « Dance as a tool for cultural diplomacy in the Cold War, Bolshoï and Kirov Ballets in Paris and London, 1954-1968 », dans Pekka Suutari et Simo Mikkonnen (dir.), Music, Art and Diplomacy: East-West Cultural Exchanges andthe Cold War, Farnham, Ashgate, 2016, pp. 139-154.
- S. Gonçalves, « Traverser la Manche en dansant, les relations franco-britanniques à travers la danse au XXème siècle, 1903-1963 », dans Michel Rapoport et Diana Cooper-Richet (dir.), Les relations culturelles franco-britanniques revisitées,Paris, Atlande, 2014, pp. 161-174.
- S. Gonçalves, « Les ballets soviétiques en Europe pendant la Guerre froide: des images « spectaculaires », entre propagande et mythification. Le Ballet du Bolchoï à Londres en 1956 », Degrés,Revue de synthèse à orientation sémiologique, n°151-152, automne-hiver 2012.
- S. Gonçalves, « Les tournées dansées pendant la Guerre froide, une danse pour la paix ? », ILCEA, Revue de l’Institut des langues et cultures d’Europe et d’Amérique, n°16, juillet 2012.