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Héritage coloniaux en Belgique: universités, mobilisations et contre-mobilisations
Depuis les années 1990, de nouvelles formes de discours et de mobilisations ont émergé pour interroger le passé colonial et le présent postcolonial belge. Différents acteurs sociaux - journalistes, chercheurs, archivistes, militants associatifs, artistes, membres de la diaspora africaine, anciens colons et leurs descendants, acteurs politiques et nationaux, etc - ont contribué à mettre à l’agenda public la question de l’héritage colonial.Pour mieux comprendre la résurgence de ce passé, le projet HERICOL se focalise sur trois dimensions : le rôle joué dans l’histoire coloniale par les universités belges, en particulier l’ULB, et la question de la « décolonisation de l’université » ; les controverses publiques sur le fait colonial structurées par des mobilisations et contre-mobilisations ; les trajectoires sociales des anciens coloniaux de 1960 à nos jours et leur rôle dans les controverses postcoloniales.
Coordinateur:
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Abdellali Hajjat, GERME (Group of research on Ethic Relations, Migration and Equality)
 
Partenaires:
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Amandine Lauro, MMC / AGS (Atelier Genre(s) et Sexualité(s))
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Sasha Newell, LAMC (Laboratoire d'Anthropologie des Mondes Contemporains)